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jeudi 7 mars 2013

Idées reçues santé : ce qui est vrai, ce qui est faux !

Idées reçues santé : ce qui est vrai, ce qui est faux !
Idées reçues santé : ce qui est vrai, ce qui est faux !

Les idées reçues autour de la santé sont nombreuses.

Pour ne pas mettre la vôtre en danger, sachez différencier le vrai du faux.

Faites-vous les idées claires avec ces dix questions.

    Il faut attendre le plus longtemps possible avant de prendre un médicament antidouleur.
    Les médecines douces ne sont pas dangereuses.
    Les cigarettes light sont moins nocives que les autres.
    L’exercice physique augmente l’espérance de vie.
    L’hypnose est efficace pour atténuer la douleur chez le dentiste.
    L’allergie à la poussière, ça existe.
    L’effet placébo est un bon antidouleur.
    Fumer est contre-indiqué avec certaines pilules contraceptives.
    La maladie d’Alzheimer est liée au vieillissement.
    L’acupuncture n’a pas d’efficacité démontrée.

Il faut attendre le plus longtemps possible avant de prendre un médicament antidouleur.

Faux.

Plus l’antidouleur est pris tôt, plus il sera efficace. Inversement, plus on tarde, plus la douleur est installée et intense, et moins le médicament sera efficace.

Et en cas de douleur chronique, mieux vaut le prendre à heure fixe, avant même que la douleur ne revienne.

Attention cependant de ne pas en abuser, car ils peuvent aussi entraîner des effets indésirables.



Les médecines douces ne sont pas dangereuses.

Faux.

Naturel ne signifie pas inoffensif. Certaines plantes ou huiles essentielles présentent des effets indésirables ou une certaine toxicité.

De plus, la plupart des médecines naturelles n’ont pas été évaluées scientifiquement. Les femmes enceintes, les jeunes enfants et les allergiques également doivent s’en méfier et prendre l’avis de leur médecin au préalable.

Traitement du cancer

Traitement du cancer
Programmes de traitement du cancer

Les principaux objectifs d’un programme de diagnostic et de traitement du cancer sont de guérir les patients ou de prolonger considérablement leur vie, et d’assurer une qualité de vie la meilleure possible à ceux qui survivent.

Les programmes de traitement les plus efficaces et les plus efficients sont ceux qui:

    sont prodigués de manière durable et équitable;
    sont liés à une détection précoce;
    et respectent des normes de soins reposant sur des bases factuelles et adoptent une approche multidisciplinaire.

Ces programmes assurent également un traitement approprié pour les types de cancer qui, bien que se prêtant peu à une détection précoce, ont un potentiel de guérison élevé (tels que le séminome métastatique et la leucémie lymphoblastique aiguë chez l’enfant) et ont par ailleurs de bonnes chances de prolonger sensiblement la survie (par exemple en cas de cancer du sein et de lymphome avancé).
Diagnostic

La première étape essentielle dans la prise en charge du cancer est de poser le diagnostic à partir de l’examen anatomopathologique. Il est nécessaire de procéder à une série de tests pour déterminer l’extension de la tumeur. L’établissement du stade nécessite souvent des ressources importantes qui peuvent être prohibitives dans un contexte défavorisé. Cependant, à cause d’un diagnostic tardif, conséquence d’un mauvais accès aux soins, la plupart des patients présentent une maladie avancée dans ces endroits.

Une fois établis le diagnostic et le degré d’extension de la tumeur, il faut prendre une décision concernant le traitement anticancéreux le plus efficace dans la situation socio-économique considérée.
Principales modalités de traitement

Il faut choisir soigneusement une ou plusieurs des principales modalités de traitement – chirurgie, radiothérapie et thérapie systémique –, choix qui doit être basé sur les éléments propres au meilleur traitement existant étant donné les ressources disponibles.

La seule chirurgie et parfois la seule irradiation ne sont susceptibles d’être hautement efficaces que lorsque la tumeur est localisée et de petite taille. La chimiothérapie seule peut être efficace pour un petit nombre de cancers, tels les néoplasmes hématologiques (leucémies et lymphomes), que l’on peut en général considérer comme étant étendus dès le début.

Des modalités thérapeutiques associées exigent une collaboration étroite au sein de l’équipe de soins tout entière.

Sang dans les selles : quelles causes possibles ?

Sang dans les selles : quelles causes possibles ?
Sang dans les selles : quelles causes possibles ?

La présence de sang dans les selles doit vous amener à consulter.

Si la cause est souvent bénigne (hémorroïdes, constipation), il peut aussi s’agir du signe d’une maladie, parfois grave.

Et attention, la quantité de sang présent dans les selles n’est pas forcément un signe de gravité (cancer colorectal).

    Quelles sont les affections pouvant entraîner du sang dans les selles ?
    Sang dans les selles et cancer colorectal
    Sang dans les selles : quand faut-il consulter ?

Quelles sont les affections pouvant entraîner du sang dans les selles ?

Les hémorroïdes

Elles correspondent à des dilatations des veines situées dans la région anale, susceptibles de saigner en plus d’être douloureuses.
Les hémorroïdes représentent l’une des causes les plus fréquentes de présence de sang dans les selles. Si elles sont bénignes, le médecin pourra cependant vous rassurer et instaurer un traitement.

La constipation

Autre cause très fréquente et bénigne de saignement anal, la constipation entraîne des fissures anales, sortes de déchirures de la muqueuse qui saignent.

La rectite

Il s’agit d’une inflammation de la muqueuse rectale pouvant entraîner l’apparition de sang dans les selles, dont les origines sont diverses : infectieuses, parasitaires, abus de suppositoires, radiothérapie…

Les maladies inflammatoires de l'intestin

La maladie de Crohn et la colite ulcéreuse se manifestent par la présence de sang dans les selles.
Ces maladies inflammatoires de l’intestin, qui s'accompagnent souvent de diarrhées et de douleurs abdominales, nécessitent un traitement à long terme et un suivi médical.

L’ulcère gastro-duodénal

Les ulcères de l’estomac ou du duodénum entraînent des saignements que l’on détecte dans les selles.
Le médecin prescrira des médicaments empêchant la sécrétion d'acide gastrique.

L’érosion d’un diverticule du côlon

Les diverticules sont de petites hernies qui se développent le long de la paroi externe du côlon.
Dotés de petits vaisseaux sanguins, leur érosion s’accompagne d’un saignement.
Bénins, les diverticules nécessitent cependant une consultation pour confirmer le diagnostic.
Et en cas de récidive, une résection chirurgicale permettra d’ôter la partie de l'intestin où se trouve le diverticule.

Une érosion gastrique

Le plus souvent d’origine médicamenteuse (aspirine, anti-inflammatoire), les érosions gastriques nécessitent une adaptation du traitement médicamenteux en question.

Les varices œsophagiennes

Les varices œsophagiennes correspondent à des dilatations des veines de la paroi de l'œsophage.
Elles ne présentent aucun symptôme, excepté lors de leur rupture (se traduisant par l’apparition de sang) en cas d’augmentation de la pression sanguine au niveau du système porte.

Sang dans les selles et cancer colorectal

Le cancer colorectal se traduit également par du sang dans les selles, mais le plus souvent en quantité indétectable à l’œil nu.

Seul un examen spécifique permet de le mettre en évidence.
Il s’agit du test Hémoccult, lequel est recommandé dans le cas du dépistage organisé de ce cancer du côlon.
Il est proposé tous les deux ans à partir de l’âge de 50 ans.

Il est également conseillé de débuter ce test plus précocement en cas d’antécédent familial de cancer du côlon ou de certaines maladies (rectocolite ulcéro-hémorragique, polypose adénomateuse familiale).

Soulager la douleur liée au cancer

Soulager la douleur liée au cancer

La douleur est souvent le symptôme que les gens appréhendent le plus à l’annonce d’un diagnostic de cancer. Mais le fait d’avoir le cancer n’implique pas forcément que vous aurez à subir une souffrance physique.

Si vous éprouvez déjà des douleurs, vous savez combien elles peuvent être pénibles à supporter. Vous craignez peut-être de toujours avoir mal, et c’est fort compréhensible. Dans ces circonstances, il n’est pas évident d’arriver à se concentrer sur autre chose.

Ne perdez pas espoir. La plupart du temps, il est possible de maîtriser ou d’atténuer la douleur liée au cancer, afin que vous puissiez vous sentir en meilleure forme et profiter pleinement de chaque journée.

À propos de la douleur

La douleur est bien plus que le simple fait d’avoir mal quelque part. La douleur joue un rôle essentiel pour l’organisme; c’est le signal que quelque chose ne va pas. La douleur est un réflexe de défense du corps humain.

Par contre, si vous avez mal, vous risquez d’avoir plus de difficulté à combattre votre cancer ou à pratiquer vos activités quotidiennes. La douleur peut provoquer une sensation de fatigue. Elle peut aussi nuire à votre travail, votre appétit, votre sommeil, votre vie sociale et aux relations avec vos proches.

La douleur a des répercussions qui vont au-delà de la souffrance physique : elle peut aussi affecter vos pensées et vos émotions. Plusieurs considèrent que les émotions suscitées par la douleur d’un cancer sont aussi éprouvantes que la souffrance physique. Ces deux facettes de la douleur ont une influence sur votre bien-être, votre humeur et votre capacité à faire face au quotidien.

Votre équipe soignante est là pour vous aider à trouver les meilleurs moyens de prévenir, de gérer et de soulager votre douleur.


Chimiothérapie

La chimiothérapie (parfois appelée chimio) détruit les cellules cancéreuses par des médicaments. Certains médicaments chimiothérapeutiques sont utilisés seuls. Mais le plus souvent, plusieurs médicaments sont donnés ensemble. De plus, la chimiothérapie peut être administrée en même temps que d’autres traitements médicamenteux, comme la thérapie biologique.

Il existe actuellement beaucoup de médicaments chimiothérapeutiques et d’associations de médicaments utilisés pour traiter plus de 200 différents types de cancers. Les médicaments chimiothérapeutiques administrés à une personne peuvent différer de ceux donnés à une autre. Même si deux patients prennent le même médicament, ils peuvent réagir de façon différente et ne pas éprouver les mêmes sensations.

« Chaque personne est différente. Dans la salle d’attente avant la chimio, les gens parlent de leur expérience. C’est un mécanisme d’adaptation pour certains, leur façon d’apprendre à vivre avec leur problème. Mais il faut se rendre compte que chaque personne est différente. Il ne faut pas avoir peur pour autant, même si vous souffrez du même type de cancer. »